Paroles de chanson Tukuleur - Afrika

Puisse la pluie tomber sur la terre mère Afrique
Pour irriguer le sol de la source jusqu'à la crique
De Dakar à Alger, Johannesburg, Lomé
La même terre, les mêmes prières
Je libère pour mes aînés
J'ai si souvent entendu parler de toi
Berceau de l'humanité
Mama Afrika, mi salminiima
Et tout ce qui vient de chez toi
Même si suis loin de toi
Tu sais que pense à toi
Rien n'arrête l'appel des racines surtout lorsqu'il est fort
Pure et sincère sur toute terre
On sait qu'il ne peut qu'éclore
Et comme le ferait un exilé
Je me remémore les moments passés sur la terre où tout est né
C'est inné

Mbeda sikkii ndunngu naatii e Afrika
Mbeda miijo nyaande fof weltaare maa
Oh Mama Mama dartoo eden cokli e maa
So ndunngu siltii njawnoden pewnen gese men

En Afrique, le sens de la famille
C'est l'unité, personne n'est seul ici
On œuvre tous pour la majorité
Tu sais là-bas on fait avec ce qu'on a
La foi, la joie de vivre
La force qu'on a demain on verra
Si dieu le veut si tu le veux
Un jour on construira
Aux jours de pluie succèdent forcément
Les jours de joie
C'est pour les enfants qu'on fait le Mamma
Avec le cœur et la foi
La certitude qu'ils pourront tous un jour
Profiter de ça
Tu leur montreras la beauté de tes grands espaces
Le plaisir de partager le thé, le temps qui passe
Les ruées bordées de magasins et de discussions de masse
En un mot, l'Afrique dans sa splendeur
Celle qui liasse des traces

Mbeda sikkii ndunngu naatii e Afrika
Mbeda miijo nyaande fof weltaare maa
Oh Mama Mama dartoo eden cokli e maa
So ndunngu siltii njawnoden pewnen gese men
3ème couplet
Malgré tes richesses
J'ai conscience que tout n'est pas rose
On se bat tous contre le temps
Pour la métamorphose
Petit à petit, l'espoir grandit
Pour s'imposer ici
Comme les baobabs le font depuis des décennies
J'ai tant appris en si peu
De temps blotti dans ton nid
Réchauffé par l'hospitalité de rigueur ici
Ils ont tous remarqué que j'avais changé
Maintenant je sais
Restons censé, car l'Afrique il faut rehausser
On revient chercher des souvenirs
Pour les décrire, rien ne vaut le toucher
De la terre saphir
On oublie pas sa famille
Celle des premiers pas
Que l'on ne me dise pas
Que la distance divisera, NON !
On prie le pays pour éviter de payer le prix
D'un continent inexistant que l'on enfouit dans l'oubli
Je suis ton fils, tu es ma mère, ma terre
Uni pour le pire et le meilleur
Nourri mes prières

Mbeda sikkii ndunngu naatii e Afrika
Mbeda miijo nyaande fof weltaare maa
Oh Mama Mama dartoo eden cokli e maa
So ndunngu siltii njawnoden pewnen gese men



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