Paroles de chanson Pascal Mono - Encre Arabique

Le temps suspendu à leurs lèvres / Leurs voix jusqu’ici
muselées
Au sud de l’occident le jour se lève / Et les tyrans
voient la nuit tomber
On voudrait rêver

Après le printemps l’été / Le Sud qui se prend à
rêver
Mais pour faire face / Aux pouvoirs en place
Combien sont tombés ?
Les révoltes et le vent ont soufflé / Et l’encre et le
sang ont coulé
On voudrait crier / On voudrait prier / On voudrait rêver

Comment le sérum sans le venin / L’Homme sans le jasmin
?
La laine du mouton sans le tondre / Les révolutions sans
ombre ?
Je voudrais prier

Le mélange pas l’amalgame / La puissance celle du nombre
La multitude et l’unité des âmes / Le bon sens sans
cracher
Sur tant de saine colère

Après le printemps l’été / Le Sud qui se prend à
rêver
Mais pour faire face / Aux pouvoirs en place
Combien sont tombés ?
Les révoltes et le vent ont soufflé / Et l’encre et le
sang ont coulé
On voudrait crier / On voudrait prier / On voudrait rêver

Sortir de l’enfer, fébriles, Liberté saignée
Ainsi soit-il / Qu’en serait-il autrement
Si on pouvait expliquer

Après le printemps l’été / Le Sud qui se prend à
rêver
Mais pour faire face / Aux pouvoirs en place
Combien sont tombés ?
Les révoltes et le vent ont soufflé / Et l’encre et le
sang ont coulé
On voudrait crier / On voudrait prier / On voudrait rêver



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