Paroles de chanson Wahienny - Decennal

decenal hein
alliga yeah
al baby

a chaque cout je revien dur, la vie se comporte durement
voila ton Al qui deploit se ailles et vole audessus de
tourment
audessus de leurs jugements, je batis mon emplacement
la chance furie de ma tereur, juis un fantome horrifant
Avec le temps j'ai appris que la vie est une aumone
que le plaisir de faire du mal est bel et bien dans chaque
homme
alors j'uis parti m'isoler loin, fuir les vagues de ce
monde
et si parfois tu doute encore sache que Alliga émonde
patien que lorsqu'il s'agit de la vengeance car elle se
mange a froid
quand certains se prend pour des loup bah au moin on leur
prend pour des proies
la court me juge et me laisse pas le temps d'avaler ma
salive
c'est pour cela que j'en ai assez pour cracher sur la
justice
cracher sur la justice c'est ce que les miens on toujours
fait
mieux vau le mal bien fait qu'un bien tres mal fait
je suit un cible, et l'attaque est obligatoire
si j'ui pas au paradi ce que j'ui au purgatoire
et lorsque je crois que mon sommeil pourrais adourcir ma
douleur
que le cauchemard surgis comme un putain de fossoyeur
je me demande qui je suis parfois je me sens tout bizarre
quelqu'un a marcher sur mes sentiments voila qu'il est tout
blafard...
la confiance me regarde partir pendant que elle se mord les
doigts
jai ne pas que des belles histoires, je donne aussi des
belles espoirs
mais pourquoi le monde veut me prendre ce qui ne mas pas
donnee
a ceux qui m'ont pas epargner, j'espere que je les ai
pardonner
je hait la vie et tout ce qui se fait sur terre m'a deplus
je partirais avec un sourir car je ne reviendre plus
papa, mes annee en prison m'on eduquer plusque toi
si seulement tu savais combien j'aurais aimer de grandir
sous ton toit
mon silence te fairai plus de mal que chaque mot que
j'aurais a te dire
t'as la fietee engourdis par le froid, tu ne poura jamais
me medir
mais je m'abtienne, quqnd vien l'orguel, vien aussi
l'ignominie
j'ai pas eu des grands reves
j'ai grandi un peu timide
mais j'oubli pas que la rue c'est la galeur qui me
l'appris
que melanie etais une gosse quand une maladie me l'as
pris´
que ni tout ses annee passee, que ni les momes que ni les
proches
rien n'as donc pu me consolee cest sur mes proses que je
m'accroche
un mot pour ceux qui sont parti, je ne crois pas qu'ils
m'ecoute
me j'espere bien qu'ils m'attendent, que je partirais coute
que coute
je court apres ma jeunesse mais la viellesse me poursuit
j'aimerais changer mon destin contre mes reve d'aujourdhui

j'ai l'impression d'avoir le mal de mer
quand j'avais ma faim, jai mangee ce qui est fade et
apprecier ce qui me donner ma mere
l'indeniable est que, maintenant j'uis arriver au point
ou l'argent n'ai rien mais putain que je manque les miens
2.4.3 sur mes recit, mes rime floteras a jamais
il ya personne qui vivra pour toujour et ilya nous qui ne
mourion jamais
etonnant que jai demander comment puis je vous fair
plaisir
et juis arriver a conclure qu'il faut fair semblant de
mourir
je souris montrant le meduis car vos gentillesse me saoul
maintenant je me sens comme un Dieu, pensant que ma vie est
un soufle
alors je soufle sur les bougie, jusqua ce que je m'eteigne

jusqua ce que je mete fin a ce discours bourree de haine
juis plonger dans mon plus pronfond, jene sortiai jamais de
ce mal
toujours sur qui vive a chaque temps quand le decade passe
au decennal



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