Axamenta - Of Genesis And Apocalypse
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(Antartica 11 Avril, 2159 après Jésus-Christ) Cut était la langue de la lucidité Solitude murmura tromperie Pourtant, pas jailli de langues situées Était la nausée qui a grandi Comme par la raison malaise non cordée Horizons rapidement fanée Les frontières de ma perception Rétréci en ruines, pourpre teinté Comme l'empyrée écroulé De la trame universelle déséquilibré Spirales rubescent gonflé Provenant de la combustion des ruptures en altitude Ses yeux - son stare Je sens la mort dans le souffle de cette impasse Descendant - révélateur - de la bobine flameborn Indéniable - Métamorphose images froides du passé Ses yeux - son regard - un regard froid du miroir à porter Madness craché du Lookingglass - Je sens la mort dans le souffle de cette impasse Les empreintes vides m'ont précédé tout au long de mon chemin dévoiler leur secret Comme dans le deuxième de ses éons tactiles d'incarnations agité beaucoup "Et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme les figues fin chute d'un figuier secoué par un moment fort vent Le ciel se retira comme un livre qu'on roule, et toutes les montagnes et toutes les îles furent remuées de sa place Puis les rois de la terre, la princesse, les généraux, les riches, les puissants, tous les esclaves et tout homme libre a été consumé par le feu qui est tombé du ciel. " Bûchers enflammés forcés La terre à trembler souvent Ses yeux - son regard - un regard fatal pour le monde à porter Le point chainreaction de temps a été atteint, ce qui rend le monde sublime Le stabilisateur a été retirée le dernier souffle de la mort lumière Le début et la fin de la chaîne sont trempés dans banal Laissant le lien de causalité avec de terminaison à l'occasion
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Axamenta - Of Genesis And Apocalypse
paroles

1. Paroles de chanson:

(Antartica, April 11th, 2159 A.D.) Cut was the tongue of lucidity Solitude whispered deceit Yet not sprung from lying tongues Was the nausea that grew As through unease reason unstrung Horizons withered apace The borders of my perception Shrunk to ruins, crimson-tinged As the empyrean crumbled down From the universal frame unhinged Rubescent spirals swelled From burning ruptures aloft Its eyes - its stare I sense death in the breath of this impasse Descending - revealing - from the flameborn coil Undeniable - shapeshifting cold images of the past Its eyes - its stare - a cold glance from the mirror to bear Madness spat from the lookingglass - I sense death in the breath of this impasse The empty footprints preceding me throughout my path unveil their secrecy As in the second of his touch aeons of incarnations stirred much "And the stars in the sky fell to earth, as late figs drop from a fig tree when shaken by a strong wind The sky receded like a scroll, rolling up, and every mountain and every island was removed from its place Then the kings of the earth, the princess, the generals, the rich, the mighty, and every slave and every free man was consumed in the fire that fell from the heavens." Flaming pyres compelled The earth to shiver oft Its eyes - its stare - a fatal glance for the world to bear The chainreaction's verge of time was reached, rendering the world sublime The stabiliser was withdrawn on the last breath of dying light The beginning and ending of the chain are quenched in trite Leaving the causal nexus with -termination- to coincide