Recherche
Paroles-traductions.com
A-Z
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
#
Recherche
Abel Aznar - Sonatina
traduction
1. Ajouter la traduction:
Les tasses et les vides le compteur à froid, Chaque verre d'un rêve, une larme, une rancune. Et suivez les routines, sonatine vieux, pleurant dans la brume la fumée et l'alcool. L'indifférence trouble d'aller à l'oublier, l'indifférence autre qu'il n'en faut pour faire. Nie votre douleur, porté, mais d'autres et enfin vous êtes seul, comme un verre de plus. Avec votre violon disparu et votre âme arlequin vous continuez à marcher sans oublier, de café dans le café. Votre sonatine vieux et triste, semble, dans chaque taverne, un espoir qui marche sous un ciel de brouillard faisant glisser un cœur. Et vous allez le soir après soir, découvrant votre violon et d'aller de table en table Arlequin avec votre âme. Votre âme obstinée Je n'ai jamais trouvé quoi que ce soit, consultant en bars et dans tous les cafés. A la recherche d'un sourire, juste une larme, recherche qui comprend amertume derrière, chaque matin si seulement vous restez pièces de monnaie à la recherche que vous ne prendrez pas.
2. Votre nom:
3. Entrez le texte de validation:
4. Cliquez sur "Ajouter":
Abel Aznar - Sonatina
paroles
1. Paroles de chanson:
Las copas ya vacías sobre el frío mostrador, en cada copa un sueño, una lágrima, un rencor. Y siguen la rutinas, la vieja sonatina, llorando en la neblina del humo y del licor. La turbia indiferencia del que va para olvidar, la otra indiferencia del que toma por tomar. Reniega de tu pena, gastada pero ajena y al fin te quedas solo, como una copa más. Con tu violín descolorido y con tu alma de arlequín, seguís andando sin olvido, de cafetín en cafetín. Tu vieja y triste sonatina, parece, en cada bodegón, una esperanza que camina bajo un cielo de neblina arrastrando un corazón. Y sigues noche a noche, desnudando tu violín y vas de mesa en mesa con tu alma de arlequín. Tu alma empecinada que nunca encuentra nada, buscando en las cantinas y en cada cafetín. Buscando una sonrisa, una lágrima nomás, buscando quien comprenda la amargura que hay detrás, de cada madrugada cuando solo te quedas mirando las monedas que no te llevarás.