(Burt Bacharach/Hal David) adaptation française Ralph Bernet
Je marche seul le long des rues où nous allions tous deux avant.
À chaque pas, je me souviens comme on s'aimait auparavant.
Comment pouvoir t'oublier ?
Il y a toujours un coin qui me rappelle, toujours un coin qui me rappelle.
Je suis né pour t'aimer et je serai toujours ainsi.
Tu restes la vie de ma vie, whoa-ooo-ohhh-oh
Quand l'ombre vient, mon pas m'entraîne où l'on allait danser le soir.
Je me revois, là t'embrassant et serrant fort tous mes espoirs.
Comment pouvoir t'oublier ?
Il y a toujours un coin qui me rappelle, toujours un coin qui me rappelle.
Je suis né pour t'aimer et je serai toujours ainsi.
Tu restes la vie de ma vie, whoa-ooo-ohhh-oh, whoa-oh-ooo-ohhh
Mais si ton coeur regrette un jour ce grand amour que l'on vivait
Reviens alors à cet endroit où l'on allait et j'y serai.
Comment pouvoir t'oublier ?
Il y a toujours un coin qui me rappelle, toujours un coin qui me rappelle.
Je suis né pour t'aimer et je serai toujours ainsi.
Tu restes la vie de ma vie.
Je n'aimerai personne d'autre... Je n't'oublierai pas pour une autre...
Tu restes la vie de ma vie.