(Pierre Jouishomme/Maxime Nouchy)
Le temps est assassin, il file entre nos doigts
Et poursuit son chemin en nous laissant plantés là.
Alors, partir en vrille ou sombrer lentement ?
Personne ne resquille, tout se paie comptant.
Et pourtant... On s'accroche, on s'accroche.
Tu crois au mauvais destin, à la mauvaise pioche
Qui te jette hors du train après t'avoir fait les poches.
Je crois à la nouvelle chance qui se présente un matin
Et te rappelle à l'urgence de prendre ta vie en mains.
Et toujours... On s'accroche, on s'accroche.
Encore et toujours... On s'accroche, on s'accroche, on s'accroche.
On s'accroche, on s'accroche.