Casey - Ennemi De L'Ordre
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I want to bite because everything annoys me, leads me to believe that pushes me to lose. Only important to me and my word horde. I am the enemy of life order. I'm the enemy, who am abused, unloved and we called evil incarnate, we fooled all these years native to lead that we love hunting fierce. My chances of survival are suspended. My future is near asphyxiation because the power is set to raise the duty walls around the black and mestizo skins. I care for the established order, the downside when the press publishes. And if I get bled weakens the alibi and wheat in the lurch so it feels good xenophobia. We love overwhelm me, and in front of his TV, the people at table every night is filled. I fear and tremble media gathered. I am capable of the worst, guilty immediately. Refrain Me the enemy of order, I am wary when I addressed and do not trust that my horde. I was ordered to lose but I chose to bite, seen that gives me the failure or rope. I am a threat and a nuisance - clearly delinquency Power - under armor tough, tenacious in dementia, of extreme virulence, without class and elegance. We discuss my youth, my impatience, My facies my prowess, my unconsciousness. Called science dissects my race, my streets, rooftops and slums embarrassing. I have the worst tendencies. I'm the worst kind. They say I break attacks and in joy, I transgresses and annoys the state of grace, show delivery stress and distress wherever I go, only interests me lazy, I do not know tenderness, I love adding to my charts crimes, this is the fist that the police sit up and that beyond the ring road north is my address. I did not look that tolerates. I look subscribes to low wages, Color who knows that anger and now I figure adjoining misfortune. I suffer burns Mollards and procedures course in radar, watchtowers and hard knocks the refusal of the bouncers and rules, contempt for leaders, laws and harsh. It is war against me, and for the glory. I'm frustrated, unemployed and without hope. And the upper echelons conspire persist and aspire to decay to the atmosphere that I breathe. And the Order wants to bite me, handing me a huge trap and then I twist, approached me with a rope and a gallows and advance that now is the chance it gives me.
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Casey - Ennemi De L'Ordre
paroles

Paroles original:

Je veux mordre car tout m’emmerde, me porte à croire qu’on me pousse à perdre. Seul m’importent le verbe et ma horde. Je suis à vie l’ennemi de l’ordre. C’est moi l’ennemi, moi qui suis malmené, mal aimé et qu’on a surnommé le mal incarné, qu’on a berné toutes ces années, l’indigène à qui on aime mener une chasse acharnée. Mes chances de survie sont en sursis. Mon avenir est proche de l’asphyxie car le pouvoir s’est fixé le devoir de hisser des remparts autour des peaux noires et métissées. Je suis le souci de l’ordre établi, l’ombre au tableau quand la presse publie. Et si ce bled faiblit je deviens l’alibi et le blé fait faux bond donc ça sent bon la xénophobie. On aime m’accabler, et devant sa télé, le peuple attablé chaque soir est comblé. Je fais peur et trembler les médias rassemblés. Je suis capable du pire, coupable d’emblée. Refrain Moi l’ennemi de l’ordre, je me méfie quand on m’aborde et ne me fie qu’à ma horde. On m’a ordonné de perdre mais j’ai choisi de mordre, vu qu’on m’accorde l’échec ou la corde. Je suis une menace et une nuisance - à l’évidence la délinquance en puissance - coriace sous la cuirasse, tenace dans la démence, d’une extrême virulence, sans classe et élégance. On discute de ma jeunesse, mon impatience, mon faciès, mes prouesses, mon inconscience. On appelle la science qui dissèque ma race, mes rues, toits et taudis qui embarrassent. J’ai les pires tendances. Je suis de la pire espèce. On dit que je casse et agresse dans l’allégresse, que je transgresse et agace en état de grâce, qu’apparaissent stress et détresse là où je passe, que seule m’intéresse la paresse, que j’ignore la tendresse, que j’adore ajouter des crimes à mon palmarès, que c’est avec le poing que la police me dresse et qu’au-delà du périph’ nord se trouve mon adresse. Je n’ai pas l’air qu’on tolère. J’ai l’allure abonnée aux bas salaires, la couleur qui ne connaît que la colère et pour l’heure j’ai la figure accolée au malheur. J’endure brûlures, mollards et procédures, parcours au radar, miradors et coups durs, le refus des videurs et les règles en vigueur, le mépris des leaders, les lois et les rigueurs. C’est la guerre contre moi et pour la gloire. Je suis contrariée, sans emploi ni espoir. Et les hautes sphères conspirent, s’entêtent et aspirent à pourrir jusqu’à l’atmosphère que je respire. Et l’Ordre veut me mordre, me tendre un piège énorme et puis me tordre, m’aborde avec une potence et une corde et avance que désormais c’est la chance qu’il m’accorde.