Ahora verás lo es tener las alas rotas,
Maintenant, tu vas voir ce que c'est d'avoir des ailes cassées,
Ahora sabrás lo es llorar por la derrota.
Maintenant, tu sauras ce qu'est pleurer la perte.
Lo que me trajo tu maldad no tiene nombre,
Ce qui m'a amené ta méchanceté n'a pas de nom,
Pero ha llegado, sin piedad, el contragolpe.
Mais est arrivé, sans pitié, le contrecoup.
¿Por qué hoy me dices que ya estás arrepentida?...
Pourquoi aujourd'hui me dire que tu es désolé? ...
¿que hiciste mal, que soy el todo de tu vida?...
Que tu as fait de mal, que je suis toute ta vie? ...
pero ya es tarde para cargos de conciencia
mais il est trop tard pour prendre conscience
y en el pecado llevarás la penitencia.
et dans le péché, tu emmeneras la pénitence.
Tenía que cansarme, alguna vez,
Je devais me fatigué un jour,
de tus mentiras.
de tes mensonges.
Tenía que cansarme de rogar
Je devais me fatigué de mendier
todos los días.
out les jours.
Pero ahora soy feliz.
Mais maintenant, je suis heureux.
Ya no te quiero más.
Je ne t'aimes plus.
No busques mi perdón, vete de mí…
Ne cherche pas mon pardon, éloigne toi de moi ...
Ahora verás lo es tener las alas rotas,
Maintenant, tu vas voir ce que c'est d'avoir des ailes cassées,
Ahora verás lo es sufrir con la derrota.
Maintenant, tu vas voir ce que c'est que de souffrir de la perte.
Lo que me trajo tu maldad no tiene nombre,
Ce qui m'a amené ta méchanceté n'a pas de nom,
Pero ha llegado, sin piedad, el contragolpe.
Mais est arrivé, sans pitié, le contrecoup.
Tenía que cansarme, alguna vez,
Je devais me fatigué un jour,
de tus mentiras.
de tes mensonges.
Tenía que cansarme de rogar
Je devais me fatigué de mendier
todos los días.
mendier.
Pero ahora soy feliz.
Mais maintenant, je suis heureux.
Ya no te quiero más.
Je ne t'aime plus.
No busques mi perdón, vete de mí…
Ne cherche pas mon pardon, éloigne toi de moi ...
Ahora verás lo es tener las alas rotas,
Maintenant, tu vas voir ce que c'est d'avoir des ailes cassées,
Ahora verás lo es sufrir con la derrota.
Maintenant, tu vas voir ce que c'est que de souffrir de la perte.
Lo que me trajo tu maldad no tiene nombre,
Ce qui m'a amené ta méchanceté n'a pas de nom,
Pero ha llegado, sin piedad, el contragolpe.
Mais est arrivé, sans pitié, le contrecoup.
Edovago
Edovago